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Traitement de la boulimie en hypnose
Trouble du comportement alimentaire — TCA

Article de Jean Touati, hypnothérapeute

Février 2009 (révision Juillet 2021)

Compte tenu des règles déontologiques de respect du secret professionnel et de réserve vis-à-vis des patients, les prénoms ainsi que certains éléments biographiques ont été modifiés.

Coraline a 19 ans. Elle fait des crises de boulimie depuis l'âge de 13 ans. Longtemps cela a été des crises tous les jours voire plusieurs fois par jour après lesquelles elle se faisait vomir.

Depuis quelque temps, les crises sont moins fréquentes mais elle mange constamment et en grande quantité jusqu'à ce qu'elle ait mal au ventre. Pendant ses crises de boulimie, elle s'entend toujours dire : « C'est pas bien ». Après, elle se sent coupable, se dit encore : « Ce n'est pas bien ». Elle pense toujours à manger. Quand elle rentre chez elle, elle commence en chemin à penser à ce qu'elle va pouvoir manger. Elle aime manger surtout du fromage et des gâteaux mais s'il n'y en a pas elle peut manger tout ce qu'elle trouve. Elle n'a pourtant jamais faim. Depuis qu'elle a atteint, vers ses 15 ans, sa taille adulte elle a pris 20kg. Elle pèse aujourd'hui 64 kg pour 1,58 m.

Elle me dit qu'elle ne s'aime pas, qu'elle manque de confiance en elle : « Les journées où je ne fais pas grand chose, j'ai le sentiment que j'aimerais bien être quelqu'un d'autre. Je réfléchis à ce que je voudrais changer chez moi et je me rends compte qu'il faudrait que je change tout, physiquement et mentalement. Alors j'en viens à la conclusion que ce serait plus simple si j'étais telle ou telle personne ; des gens de mon entourage que je connais. Si je pouvais, je changerais tout, le caractère, la façon d'être. Je voudrais être plus sûre, moins timide, comme certains qui peuvent parler, engager la conversation avec n'importe qui, être comme ces gens avec qui on a envie de parler naturellement. »

Elle est seule en ce moment et aimerait bien avoir un petit ami, mais elle sait, d'expérience, que cela ne la rend pas plus sûre d'elle. Elle s'étonne d'avoir confiance en elle pour ce qui ne lui plaît pas ; elle a commencé des études en droit et en philosophie où elle a très bien réussi. Elle ne va pourtant pas poursuivre mais recommencer un cursus dans le sport. Coraline est en effet très sportive : passionnée d'équitation, elle fait de la compétition, du saut d'obstacle. En compétition c'est pareil, elle a perdu sa confiance : « Avant je me disais : "je vais gagner", maintenant je me dis plutôt : "j'espère que je ne vais pas perdre". » Sa mère l'encourage à poursuivre dans cette voie qui semble remplir sa vie.

Coraline avait commencé un travail thérapeutique mais elle ne se sentait pas à l'aise. Lorsque je l'interroge sur les prémices de son trouble elle me dit que beaucoup de gens pensent que ses crises de boulimie ont commencé quand ses parents se sont séparés mais que cela ne l'a pas plus traumatisé que ça, qu'elle l'a bien pris. Elle ajoute qu'elle ne voit pas souvent son père. Elle raconte aussi qu'entre 14 et 15 ans elle n'arrivait plus à aller en cours, elle ne pensait qu'à manger toute la journée. Mais malgré ses crises de boulimie et son mal-être Coraline a tout de même eu son bac avec mention assez bien.

 

Je verrai, en tout, Coraline au cours de 3 séances. Ses crises de boulimie se sont calmées à l'issue de la seconde séance d'hypnose. Depuis, je n'avais pas eu de ses nouvelles. Un an après elle revient me voir pour arrêter de fumer et me raconte comment ses crises de boulimie ont disparu.

Elle me dit : « Quand j'ai voulu arrêter de fumer, j'ai eu deux petites crises ou je mangeais un peu sans me contrôler et ou je culpabilisais après, mais qui n'ont rien à voir avec les crises de boulime que je pouvais faire auparavant. Aussi, je me suis dit que j'allais revenir vous voir pour me faire aider. » Je constate que Coraline a bien minci. Elle me dit qu'elle a perdu 12kg, sans faire d'effort particulier, sans se contraindre. J'apprends qu'elle a aussi maintenant un petit ami (qui fume aussi).

Dans cette séance sur le tabac, je lui explique ce que ressentent les fumeurs lorsqu'ils arrêtent avec le travail que nous faisons en hypnose. Elle rebondit en me disant : « Pour moi, ça a été pareil : j'ai vu les journées passer en me disant tiens je n'ai pas pensé à la nourriture. »

Elle poursuit spontanément et m'explique ce qu'elle a ressenti après nos séances : « Je ne vous l'avais pas dit, mais en venant vous voir je ne croyais pas trop à l'hypnose, j'avais dû essayer déjà cinquante mille façons. Je me suis dit de toute façon une de plus ou une de moins, on va essayer. C'est une amie de ma mère qui m'avait conseillé l'hypnose. Il faut dire que j'avais vu des psy, des diététiciens, j'avais vu vraiment plein de gens. Avec ma mère on avait fait tout un programme pour essayer d'arrêter. Ma mère essayait de m'aider au maximum. Ça avait aidé à diminuer un petit peu mais ça ne m'a jamais aidé à arrêter mes crise de boulimie. En classe de troisième, il y a des fois où je n'allais pas en cours parce que je ne pensais qu'à ça, je mangeais toute la journée après ça s'était un peu calmé mais j'ai toujours continué à faire des crises de boulimie jusqu'à ce que je vienne vous voir. Même dans des périodes ou je ne faisais pas de crises, quand je mangeais un peu lourd ou gras je culpabilisais pendant cinq jours, je ne m'en remettais pas, alors que maintenant, non. Enfin, des fois encore un peu. Je culpabilise quand je vais manger un truc très gras mais beaucoup moins, en fait, un peu comme tout le monde. Des fois quand je suis invitée à manger, je peux bien manger sans culpabiliser ; je me dis que le lendemain je mangerai plus léger.

J'ai retrouvé un réel plaisir à manger ! Avant ce n'était même plus un plaisir, je m'empiffrais. Et puis je sais aussi résister, par exemple, me dire : "Non je n'ai pas spécialement envie de manger cette grosse glace au chocolat, je ne vais pas la manger", alors qu'avant ce n'était pas possible. C'est génial ! »

 

Que pouvez-vous attendre du traitement de la boulimie et autres troubles du comportement alimentaire (TCA) en hypnose ?

Je traite régulièrement de très nombreuses jeunes filles et femmes, plus rarement des hommes, pour des troubles du comportement alimentaire (TCA) : boulimie, hyperphagie et anorexie mentale. Parmi celles qui souffrent de boulimie, nombreuses me disent avoir « tout essayé » et font parfois depuis 20 ans et plus des crises quotidiennes voire plusieurs fois par jour. La plupart d'entre elles termlnent leur crise par des vomissements volontaires. Si la crise boulimique n'est pas suivie de vomissements ou d'autres comportements visant à contrôler la prise de poids on parle plutôt d'hyperphagie. Pour pratiquement toutes ces personnes le travail en hypnose, que je propose, leur a permis d’évoluer et de se libérer de leur trouble dans des délais relativement rapides ; en général, de l’ordre de 4 à 5 séances d'hypnose (parfois plus rapidement). Les patientes ressentent en général un mieux être dès les premières séances d'hypnose bien que l'évolution ne soit pas nécessairement progressive. Certaines patientes, y compris dans des cas de boulimie très sévère et ancienne, n'ont plus fait de crises boulimiques dès la première séance d'hypnose. La durée du traitement ne semble pas liée à l’ancienneté du trouble ni à son ampleur et ni même au travail psychothérapeutique déjà entrepris.

Ce trouble se manifeste dans la plupart des cas comme le symptôme d'un trouble anxieux ; les troubles anxieux sous leur diversité symptomatique constituent 80% de ma consultation. La crise boulimique apparaît comme le moyen que, non consciemment, la personne a trouvé pour apaiser son angoisse. La crise produit une sorte de transe durant laquelle la pensée s'arrête en apportant cet apaisement. Je constate que toutes les jeunes filles et femmes faisant des crises de boulimie ont à un moment de leur existence fait un régime ou ont eu une préoccupation par rapport à la nourriture ; elles auraient en quelque sorte montré à leur esprit ce moyen d'apaiser leur angoisse.

L'anorexie mentale, quant à elle, présente plutôt une comorbidité (cumul de troubles) avec un état dépressif et peut aussi s'accompagner de crises de boulimie suivies de vomissement. Ce trouble, à l'instar des troubles dépressifs primaires, est plus complexe et plus long à traiter. J'ai cependant aidé plusieurs jeunes filles et jeunes femmes à se délivrer de leur anorexie. Celles-ci étaient en grande souffrance bien qu'elles n'en aient parfois pas pleinement conscience, leur anorexie pouvant donner paradoxalement un sentiment de toute puissance malgré un amaigrissement très important ; certaines avaient atteint un poids de 33 kg pour une taille 1,65 m et avaient pourtant un long parcours psychiatrique.

 

Autres témoignages

Ondine, 25 ans, souffre de boulimie depuis ses 19 ans.

Ondine décrit dans l'email qu'elle m'adresse afin de prendre rendez-vous comment se manifestent ses crises de boulimie :

« Ces troubles me viennent lors de stress ou de restrictions alimentaires. J'arrive à me contrôler, particulièrement lorsque je mange en famille ou entre amis. Je prends alors plaisir à manger. Cependant une fois seule, je suis fragile et me fais vomir régulièrement. Il m'arrive d'avoir des périodes où je me contrôle. Les périodes les plus importantes sont de quelques mois. Cependant il arrive toujours un moment où mes difficultés face à l'alimentation deviennent plus fortes et mes troubles réapparaissent. Je n'arrive pas à me guérir seule et définitivement. »

 

Peu après sa troisième séance d'hypnose, Ondine se sent libérée et décide d'interrompre sa thérapie. Elle m'envoie ce sympathique et amusant message faisant écho au ton léger et ludique de nos séances.

Bonjour Monsieur Touati ! C'est Ondine. =)

Je vous contacte par mail pour vous indiquez que je vais m'arrêter là pour les séances. Sniff sniff sniff, c'est trop triste de ne plus vous voir ! Ce n'est pas une décision que j'ai prise du jour au lendemain et je voulais prendre mon temps pour ne pas regretter ce choix par la suite. J'arrête ces séances puisque je me sens capable de continuer le chemin seule même si dans le fond, j'aurais aimé avoir des thérapies avec vous tous les jours. Vos séances font vraiment du bien Monsieur Touati ! Vous êtes quelqu'un que les gens devraient côtoyer tous les jours tellement vous nous faites du bien. C'est donc avec une part de tristesse que je vous dis au revoir mais aussi avec une grande joie de continuer seule en pensant que la boulimie c'est du passé et cela c'est grâce à vous. Je vous dois beaucoup ! Je repense à cette première séance de thérapie formidablement belle et poétique où vous me parliez d'une cigogne. Cet oiseau libre et magnifique prend son envol vers le soleil. Mes au revoir sont un peu cela : j'ai l'impression que de belles ailes blanches et soyeuses me sont poussées sans que je ne m'en rende compte au fil de ces trois séances. Aujourd'hui, je bats des ailes pour aller vers les horizons que je me suis choisie. Merci Monsieur Touati pour ces ailes ! Un jour, une certaine Lisa, 44 ans, vous avez dit : "Que Dieu vous garde". Je ne suis pas croyante mais en écrivant ces lignes, je me plais à croire qu'un esprit lumineux et bienveillant prendrait soin de vous. Que cet esprit vous garde Monsieur Touati ! Vous êtes et serez précieux pour un grand nombre de gens. Je m'en vais maintenant, je me réveille. Un, deux, trois soleil ! Merci, merci, Monsieur Touati et merci encore ! Vous êtes quelqu'un comme ça : "image d'un petit pouce en l'air". =)

Au revoir Monsieur Touati !

Ondine

P.S. Bien entendu, en lisant ce mail il faudra que vous pensiez à mettre un certain accent de "région parisienne" sinon ça n'aura pas de classe =) ah ah ha ! (Ondine, tout en ayant grandi en région parisienne, s'exprime étrangement avec un très élégant accent germanique)

 

Aglaé, 32 ans, souffre de boulimie vomitive depuis son adolescence.

Aglaé m'adresse ce témoignage un mois et demi après la fin de sa thérapie. Je l'ai reçue au cours de cinq séances d'hypnose sur une période d'un mois.

J’ai suivi, depuis mes seize ans où ces crises de boulimie ont commencé, diverses thérapies : individuelles, familiales et en groupe. J'ai aussi été hospitalisée au début. Je ne savais donc plus trop vers quelle approche me tourner. Je me suis intéressée à l’hypnothérapie suite à différents témoignages encourageants, particulièrement sur le site de M. Jean TOUATI.

La rencontre avec M. Touati fût une très agréable surprise ; des échanges ponctués de rires et d’une similaire affinité musicale avec les émotions qui en découlent !

Je ne suis pas familière à la méditation, ni au yoga, mais dès la première séance d'hypnose, je me suis sentie chaleureusement encouragée et en confiance. Dès la première séance, j’ai arrêté … alors qu’AVANT, c’était tous les jours, plusieurs fois par jours et depuis de nombreuses années…

Comme si c’était « magique » mais pourtant VRAI !

J’ai commencé la thérapie il y a deux mois et demi, et cela fait donc un mois et demi que la thérapie est terminée… et Rien ! Enfin, je veux dire « TOUT » ! Tout va bien – sans effort ou volonté de maîtrise, etc ….

Je me dis, c’est incroyable qu’à travers ces séances d'hypnose, je me sois sentie de plus en plus détachée de cette enclume. Je me demande parfois ce qui a fait que depuis quinze ans je me sois accrochée à ça... ?

Je n'ai pas une réponse précise, mais ce qui est sûr, c'est que l'on se sent très légère, libre et tous les projets que je m’interdisais au fond de moi à cause de ça... Eh bien là, toutes les portes sont grandes ouvertes !

Je me suis fait d’ailleurs la réflexion en écrivant ce témoignage : "J’écris à l’imparfait, … et c’est un temps du passé qui est bien révolu !".

Ça fait plaisir.

Alors un très grand merci à M. Touati pour m’avoir accompagnée dans cette transition, de manière très sympathique et mélodique !

Aglaé

 

Giulia, 44 ans, mariée, mère de deux enfants, souffre de boulimie depuis son adolescence.

Giulia m'adresse spontanémment ce témoignage deux ans après la fin de sa thérapie,

Elle partage son ressenti, son évolution et aussi ses doutes qui l'ont amenée à laisser passer ces deux années afin d'avoir la certitude d'être vraiment et durablement libérée de cette boulimie qu'elle voyait comme « une partie d'elle ».

Je l'ai reçue au cours de quatre séances d'hypnose sur une période d'un mois.

Cher Monsieur Touati,

J'espère que vous allez bien. Je prends le temps de vous écrire ; ça fait longtemps que je veux le faire, mais j'attendais d'être sûre de moi avant de vous écrire...

Je suis venue vous voir pour un problème de trouble alimentaire, une sorte de faim émotive, liée à un stress ou à une anxiété que je ne savais pas trop définir et que vous m'avez aidé à reconnaître et à contrôler.

Depuis la dernière fois, beaucoup de choses ont changé, en mieux, dans ma vie. Maintenant je me sens libérée de ce poids physique et mental qui me pesait, j'ai découvert la sensation de faim réelle, très différente de la faim émotionnelle, je ne suis même pas sûre qu’auparavant j'avais jamais eu occasion d'avoir "vraiment" faim ! Maintenant je peux voir la nourriture, même celle qui avant pouvait m'induire dans une crise de boulimie, mais j'arrive à la dissocier du "moi" ; elle n'est plus partie de moi, j'arrive à prendre une décision : je mange ou je ne mange pas, consciemment ; ce n'est plus une addiction.

Pour moi c'est un super résultat. J'avoue que j'ai mis du temps à assimiler ce concept, que c'était fini tout ça. Je pensais que c'était à nouveau une phase, que bientôt j'allais tomber à nouveau dans une grosse crise, que je n'avais pas vraiment résolu ce qui faisait partie de moi depuis si longtemps. Mais c'était une sorte de souvenir d'un geste que j'avais l'habitude de faire avant, que maintenant je n'ai plus ni besoin ni envie de faire... mais ce souvenir me suivait encore... Pourtant il était vide, sans plus de signification pour moi, aucune envie de le refaire...

Il m'a fallu du temps pour y croire, pour cette raison je ne vous ai pas écrit avant. Maintenant je sens que je peux faire quelque chose par rapport à ce problème que j'ai eu, que je ne le subis plus comme avant. Je pense que le rapport avec la nourriture reste quelque chose de très complexe pour tout le monde, je le vois au quotidien aussi dans mon rôle de maman ou de femme... mais je me sens libérée, je me sens bien et cela est arrivé à un moment important de ma vie, j'ai maintenant 44 ans, je sais que je peux profiter encore de mon corps, me plaire, être une maman bien dans sa peau, ce qui reste très important pour moi pour Andrea, mon mari, et mes deux garçons, Enzo et Nino.

Je suis contente d’être venue vous voir avant d'avoir gâché trop d'années de vie avec ce trouble.

Donc merci, merci beaucoup de m'avoir mis sur la bonne voie.

Je garde de très beaux souvenirs de "mes promenades" en suivant votre voix et votre musique. Je vais essayer de continuer à suivre mon chemin ; il y a sans doute d'autres obstacles qui se présenteront ou qui sont là mais que pour le moment je n'ai pas envie de franchir ou qui peut être sont déjà là mais que je ne vois pas encore... mais si je sens la nécessité d'un aide, je n'hésiterai pas à venir vous voir !

Bonne journée,

Giulia

 

Lise, 32 ans, a souffert d'anorexie puis de boulimie vomitive durant 10 années.

Lise m'adresse spontanémment ce témoignage un an après la fin de sa thérapie,

Un peu déconcertée par une approche bien différentes des nombreuses méthodes conventionnelles qu'elle avait testées durant ces 10 années, Lise a interrompu sa thérapie à l'issue de notre troisième séance et pourtant...

Bonjour M. Touati,

Ce message est peu conventionnel mais je voulais vous remercier pour votre thérapie qui s'est révélée être un grand succès.

Ayant souffert d'anorexie et de boulimie vomitive pendant 10 longues années, avec un sentiment de vide sidéral malgré mes réussites professionnelles et personnelles, j'ai testé nombre de méthodes et de professionnels de la santé pour apaiser mon mal-être.

Bien entendu, vos méthodes au départ m'ont paru être à côté de ma véritable perception de ma maladie et des méthodes conventionnelles pour le traitement de ces troubles psychologiques. C'est ainsi la raison pour laquelle j'ai mis fin à nos séances.

Cependant, je gardais toujours en tête les mots et métaphores de la petite fille que vous employiez. Quelques semaines plus tard, j'ai eu un déclic mental qui a transcendé ma vision des choses, de la vie, de mon trouble. Les premières semaines ont été difficiles, essayant de ne pas retomber dans mes travers. Il m'a fallut de la bienveillance envers moi même et beaucoup de lâcher prise mental. Ce n'est que quelques mois plus tard que j'ai réalisé que je vous devais beaucoup pour votre thérapie.

Certes, il y avait eu un gros travail de persévérance et d'assiduité de ma part, mais vous aviez réussi à planter une petite graine dans mon mental me permettant de déclencher ce changement radical.

Alors je voulais vous dire merci, car ma vie est tellement meilleure maintenant. Cela fait 10 mois que je ne souffre plus mentalement et physiquement et le simple fait de me remémorer mon passé me paraît être une histoire d'une autre vie d'une autre personne.

Je souhaite à tout le monde de rencontrer une personne comme vous, il se porterait beaucoup mieux.

Merci et bonne continuation,

Lise

 

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Jean Touati

Hypnothérapeute

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